Date de sortie en France : 30 Novembre 1984 Durée : 1h30 Titre original : Commando
Alors c'est l'hostoire de deux éboueurs qui viennent déranger bruyamment un brave homme, le réveillant un mardi à 10h du matin Et là direct, dialogue d'anthologie :
le brave homme :
- "j'ai eu peur que vous me ratiez"
un des eboueurs :
- "t inquite pas on va pas te rater.
FIN DE LA PREMIERE HISTORE
Le brave homme n'aura pas fait long feu.
Juste après, s'en suit dna sl 'intrigue une petite histoire de vente de voiture sans intérêt que je ne vous détaillerai pas. Diisons juste que l'acheteur - l éboueur encore lui- a trouvé le prix intéressant.
Et c'est là que l histoire commence,
Il était une fois un brave homme musclé qui vivait heureux avec sa fille au fin fond de la cambrousse. Il son heureux, mangent ds glaces, jouent avec des bibiches et vivent de joie et d insouciance. le papa, bucheon de profession, va chercher des arbres comme tu vas aller chercher une baguette de pain, ils ont une énorme maison, vivent dans la nature. Bref, le paradis, quoi, en plus de maman à la maison, on ne sait même pas ce qui lui est arrivée, le bon schwarzie commande seul, le pardadis je dis.
et comme à ce moment du film, tu vois que le titre du film est "Commando", tu sais dejà, malicieux lecteur, que ça va castagner sec dans pas longtemps. Et boum, le temps de le dire, un hélicoptère arrive. Il aura été tranquille 2 minutes.
Cet la arrive une sorte de colonel Trautman version discount
Commando : Quand Arnold Schwarzenegger Redéfinit le Concept de "Journée Bien Remplie"
Si tu n’as jamais vu Commando, avec Arnold Schwarzenegger, permets-moi de te dire une chose : tu n’es pas prêt. Ce film est un condensé de testostérone pur jus, une véritable ode aux explosions et aux punchlines improbables. En gros, c'est comme si un jeu vidéo d'action des années 80 avait pris vie avec Schwarzenegger dans le rôle principal. On parle ici d’un Arnold au sommet de sa forme, prêt à botter des fesses du matin jusqu’au coucher du soleil – et spoiler alert, personne n’est épargné.
L’intrigue... ou ce qui en tient lieu
Alors, de quoi parle Commando ? Franchement, c'est presque secondaire, mais bon, faisons un effort. Arnold joue le rôle de John Matrix, un ex-commando (parce que pourquoi pas), qui vit tranquillement en mode retraite anticipée dans les montagnes avec sa fille Jenny (jouée par une Alyssa Milano toute jeunette). Mais comme c’est toujours le cas quand on veut juste "profiter d’une vie paisible", un groupe de méchants décide de kidnapper sa fille. Pourquoi ? Pour forcer Matrix à assassiner un président d’un pays fictif sud-américain. Évidemment.
Erreur fatale, les gars.
Matrix, c’est le genre de type qui, en réponse à la moindre provocation, te réorganise la colonne vertébrale avec ses poings. Alors, imagine ce qu’il est prêt à faire pour sauver sa fille. Le mec ne va pas simplement faire une enquête ou appeler les autorités, non. Il va, littéralement, exploser tout ce qui bouge.
Les Moments Culte : Du Surréalisme et encore du surréalisme
Ce qui rend Commando si génial, c’est que chaque scène essaye de surpasser la précédente en termes d’absurdité. Rien ne semble impossible pour Matrix. Besoin de sauter d’un avion en plein vol ? Pas de problème. Dézinguer une armée entière avec juste des grenades et un fusil ? Facile. Porter un tronc d’arbre sur une épaule pendant que tu te promènes dans la forêt comme si c’était ton sac de sport ? Évidemment.
Et parlons des punchlines ! Matrix ne se contente pas de tuer les méchants, il les tue avec style. Après avoir balancé un type hors d’une falaise, il lâche : "Je l'ai lâché" (en anglais : I let him go). Sérieusement, si les Oscars récompensaient les meilleures répliques badass, Commando en aurait gagné dix.
Bennett : Le Méchant au Débardeur Métallique
Parlons un peu de Bennett, l'antagoniste principal, incarné par Vernon Wells. Franchement, c’est tout un poème ce type. Il se balade en débardeur de maille métallique (oui, tu as bien lu), et chaque scène avec lui est un festival de moustaches en sueur et de grimaces. À un moment, tu te demandes s’il est là pour se battre ou pour aller à une convention de cosplay médiéval.
Mais la rivalité entre Matrix et Bennett atteint des sommets ridicules. À la fin, leur combat ressemble plus à une déclaration d’amour refoulée qu’à une véritable querelle. Sérieusement, Bennett passe une bonne partie du film à fixer Matrix avec un mélange d’envie et de haine qui mérite sa propre analyse psychologique.
Une Démonstration de Force... Littérale
Quand on regarde Commando, on comprend vite que c’est avant tout une démonstration de force de Schwarzenegger. Il détruit une armée entière avec un arsenal d’armes qu’il semble sortir de nulle part. Il affronte des ennemis armés de tanks avec ses biceps. Dans une scène emblématique, il se rend dans une armurerie et ressort avec assez d’armes pour envahir une petite nation, le tout en affichant le même calme que s’il faisait ses courses du dimanche.
D’ailleurs, c’est aussi ça qui rend Commando tellement divertissant : c’est exagéré à un point tel qu’on ne peut que rire devant la démesure des événements. Arnold n’est pas juste un héros d’action, il est un super-héros sans cape qui n’a besoin que d’un couteau de chasse et d’un regard déterminé pour conquérir le monde.
Une Morale de l’Histoire ?
Si Commando nous apprend quelque chose, c’est qu’il n’y a pas de problème dans la vie que l’on ne puisse résoudre avec des muscles, des grenades et un débit de répliques mémorables. Et qu’en tant que père, tu devrais probablement avoir un arsenal militaire caché quelque part, au cas où ta fille se ferait kidnapper par des mercenaires.
Conclusion : Un Chef-d'œuvre Involontaire
Commando n’est pas juste un film d’action des années 80, c’est une expérience. C’est le genre de film où tu te surprends à rire alors que tu es censé être en tension face à l'action. Et c’est précisément ce qui en fait un classique. Ce n’est pas un chef-d'œuvre du cinéma au sens traditionnel du terme, mais c’est un chef-d'œuvre d’absurdité, un hommage à une époque où les héros d’action ne se posaient pas de questions et faisaient juste sauter tout ce qui était sur leur chemin.
Donc, si tu veux te détendre, mettre ton cerveau en veille et profiter de 90 minutes d’action décomplexée, mets Commando. Et souviens-toi : John Matrix ne perd jamais.